J’ai donné ce nom à l’ensemble des pratiques que j’ai mises en place, dont j’ai mesuré la portée et que j’ai optimisée afin de générer une réussite mesurable sur plus de 90% des élèves d’une classe. Je voulais trouver une manière de rejoindre plus d’élèves pendant le même temps de classe et, à l’image du Web 3.0 qui sait toujours un peu ce que vous faites sur l’Internet, arriver en classe à ce que chacun sache pourquoi il fait la tâche qu’il réalise et qui pourra l’aider à mieux apprendre, mieux comprendre…

Nous vivons dans un monde où les données sont prépondérantes. En éducation, on n’y échappe pas, que ce soit avec les données probantes ou celles découlant des fluctuations des résultats de vos élèves. Cet assemblage de pratiques n’est pas une nouvelle approche en pédagogie et est relativement près des pratiques d’un nouvel enseignant de même que celui qui a œuvré pendant plus de 30 ans dans l’enseignement. Là où la pédagogie 3.0 innove, c’est qu’elle permet aux enseignants d’apprendre à lire leur effet et de montrer aussi à leurs élèves à avoir de l’effet sur leurs propres apprentissages. Ainsi, en utilisant mieux les différentes formes d’évaluations, je souhaitais intégrer ces outils pour que la progression académique augmente l’estime de soi.

La pédagogie 3.0 c’est: 

* Élaguage des partiques qui ont peu d’effet sur la résussite

*Engager les élèves via leur progression et non des thèmes ou des projets (bien qu’il y ait beaucoup de projets).

*Avoir un continuum de la réussite avec la planification basé sur des test diagnostiques,  la clarté des cours et la crédibilité du cheminement.

*Réduire le fardeau de l’enseignant (les élèves ont leur tests corrigés la journée même, plus de corrections le soir)!

*Découvrir ou redécouvrir ce pourquoi on avait choisis cette extraordinaire profession, soit pour allumer des prunelles!